L'autre jour, je perdis mon boomerang. je l'avais reçu de l'autre mammouth de savane qui sentait plus mauvais qu'un putois.
Alors le mammouth pestilentiel me regarda avec une haine profonde. Du coup, pour me faire pardonner, je me mis en quête de lui mettre la main au cul. Il en tomba sur le derrière et j'en perdis la main. Je hurlai de douleur et lui plantai ma dague dans le dos.
Et je lui pris ses grosses bourses remplies de pièces blanchâtres qui dégagaient une odeur de pastille de Javel.
Je voulu les revendre à un nain mais il avait peur que cela lui lave la barbe. Celle-ci était poisseuse et remplie de petites bestiolles à l'allure plus qu'étrange.
Ces petites chose lui rongeaient la peau et la barbe. Une odeur nauséabonde se dégageait de ses vêtements troués par les termites qui vivaient dans sa cabane au bord de la forêt. Une vieille foret aux bord d'un lac poisseux.
C'est alors, que je vis une jolie jeune fille qui se lavait dans la fontaine. Elle était nue et une étrange odeur d'oignon me faisais pleurer! Je demanda alors son nom et elle me répondit Georgette! Comme ma maman! Et je fut prit d'une violente pulsion qui m'obligea à lui lecher ses deux gros orteils!
Je me suis retrouvé en enfance quand, elle s'est penchée dos à moi. Quand tout d'un coup, je sentis une main sur mon gros gourdin, et là, une sensation qui me paraissait étrangement déplaisante me traversa le corps, du bout du gourdin à mon plus petit, et unique orteil.
Un homme accouru en criant: "Mimine!!". Et je fut prit d'une peur si grande que je réussi a jubiler tout en m’enfuyant a tire d'aile.
Le lendemain, je vis des paysans brandissant des torches allumées à ma porte. Le leader des paysans me demanda pourquoi j'avais laissé sa femme me faire du charme avec ses gestes déplacés. Et je lui répondis: "La réalisation réside dans la pratique, et non pas dans l'imaginaire!".
Là, un coup violent parti en ma direction. Je fus pris d'une pulsion cardiaque intense qui me fit presque tombé en syncope.Grâce à cela, le coup rasa mes cheveux, qui en s'envollant prirent feu dans les torches. Aveuglant l'un de mes adversaires, j'en ai profité pour lui baisser son pantalon. Après quoi je couru en hurlant de douleur. Pendant ma course ces fermier m’ont suivi! M'ayant fait déjà fait Jamel Debouzé par un mammouth, je sautai dans une fosse à purin où se trouvait une dame avec des poils au nez. Cette dame, se nourrissait de cadavre en décomposition
Alors le mammouth pestilentiel me regarda avec une haine profonde. Du coup, pour me faire pardonner, je me mis en quête de lui mettre la main au cul. Il en tomba sur le derrière et j'en perdis la main. Je hurlai de douleur et lui plantai ma dague dans le dos.
Et je lui pris ses grosses bourses remplies de pièces blanchâtres qui dégagaient une odeur de pastille de Javel.
Je voulu les revendre à un nain mais il avait peur que cela lui lave la barbe. Celle-ci était poisseuse et remplie de petites bestiolles à l'allure plus qu'étrange.
Ces petites chose lui rongeaient la peau et la barbe. Une odeur nauséabonde se dégageait de ses vêtements troués par les termites qui vivaient dans sa cabane au bord de la forêt. Une vieille foret aux bord d'un lac poisseux.
C'est alors, que je vis une jolie jeune fille qui se lavait dans la fontaine. Elle était nue et une étrange odeur d'oignon me faisais pleurer! Je demanda alors son nom et elle me répondit Georgette! Comme ma maman! Et je fut prit d'une violente pulsion qui m'obligea à lui lecher ses deux gros orteils!
Je me suis retrouvé en enfance quand, elle s'est penchée dos à moi. Quand tout d'un coup, je sentis une main sur mon gros gourdin, et là, une sensation qui me paraissait étrangement déplaisante me traversa le corps, du bout du gourdin à mon plus petit, et unique orteil.
Un homme accouru en criant: "Mimine!!". Et je fut prit d'une peur si grande que je réussi a jubiler tout en m’enfuyant a tire d'aile.
Le lendemain, je vis des paysans brandissant des torches allumées à ma porte. Le leader des paysans me demanda pourquoi j'avais laissé sa femme me faire du charme avec ses gestes déplacés. Et je lui répondis: "La réalisation réside dans la pratique, et non pas dans l'imaginaire!".
Là, un coup violent parti en ma direction. Je fus pris d'une pulsion cardiaque intense qui me fit presque tombé en syncope.Grâce à cela, le coup rasa mes cheveux, qui en s'envollant prirent feu dans les torches. Aveuglant l'un de mes adversaires, j'en ai profité pour lui baisser son pantalon. Après quoi je couru en hurlant de douleur. Pendant ma course ces fermier m’ont suivi! M'ayant fait déjà fait Jamel Debouzé par un mammouth, je sautai dans une fosse à purin où se trouvait une dame avec des poils au nez. Cette dame, se nourrissait de cadavre en décomposition